Ce chapitre se veut symétrique du premier. Il l'est en effet au moins dans la mesure où il témoigne, dans l'album, de la présence de cartes assez nombreuses rassemblées par Simon Jeanjean pour compléter son album, mais qui n'ont pas été envoyées par lui et sortent du cadre de cette curieuse correspondance-collection envoyée en quelque sorte à lui-même. On pourra y saisir, après les suites immédiates de la guerre, quelques bribes de relations amicales et épistolaires qui pourraient contribuer à l'histoire de la famille Jeanjean.