Ayant quitté l'hôpital d'Abbeville, et obtenu une permission pour convalescence, voici Simon Jeanjean à Troyes, où "la petite existence du dépôt recommence" (carte n° 301). Il est considéré, une fois de plus, comme guéri.  Quelques semaines plus tard - après une nouvelle permission accordée à la naissance de l' "héritier" attendu (qui est... Madeleine) -  on le retrouve à Bar-le-Duc, enfin soulagé d'être réformé et de pouvoir échapper à la menace de retourner au front. "Quand on pense aux pauvres copains qui sont là-haut", souffrant de la faim et des gaz, aux blessés, aux chevaux morts (carte n° 433)...